vendredi 30 septembre 2011

AFS : Fini pour Steyn ?


François Steyn a-t-il terminé sa Coupe du monde ? C'est très probable selon le sélectionneur sud-africain Peter de Villiers. Le centre ou arrière des Springboks et du Racing-Metro s'est gravement blessé à l'épaule vendredi contre les Samoa (13-5).

"François va vraisemblablement devoir rentrer. Il doit être examiné par le staff médical, mais à 95%, il va rentrer à la maison. C'est un gros coup dur pour nous", a déclaré Peter de Villiers, lors d'un point-presse. L'encadrement sud-africain devrait faire un point dans la journée de samedi.

Boyet gagne le duel de buteurs


Benjamin Boyet, l'ouvreur de Bayonne, a par huit pénalités remporté le duel de duels de buteurs qui l'opposait à Jonathan Wisniewski, et donné la victoire (27-23) à son équipe face au Racing Métro, vendredi lors de la 6e journée de Top 14.

Les hommes de Pierre Berbizier, grâce à deux essais de Matavesi en première période et Vatakawa dans les dernières minutes, ont décroché un point de bonus défensif et restent en haut de tableau.

Bayonne, qui n'a pas gagné depuis le match inaugural de la saison de Top 14 contre Toulouse (19-13) et a glissé à la 11e place, loin de ses espérances de début de saison, présentait une équipe bouleversée en toute dernière minute en raison de la défection de Ziegler (douleur à une cuisse).

Si l'Aviron ouvrait rapidement le score par une pénalité de Boyet (2e), le match tardait à se libérer, même si Wisniewski inscrivait aussitôt ses trois premiers points.

Le Racing-Métro se signalait par son indiscipline et ses nombreux hors-jeu, parfois signalés par le public de Jean-Dauger.

Heureusement pour les joueurs de Pierre Berbizier, Matavesi, bien servi par Cronje en sortie de mêlée, transperçait et marquait entre les poteaux (10-6, 20e) donnant un peu de répit à son équipe.

L'Aviron passait en tête à la pause par de nouvelles pénalités de Boyet et un drop de Garcia (12-10).

Après de nouvelles pénalités (2 pour Boyet et une de Germain), l'Aviron profitait des nombreuses fautes des Racingmen pour lancer une offensive par Roumieu, butant sur un geste d'antijeu de Qovu, aussitôt sanctionné d'un carton jaune. Boyet concrétisait entre les poteaux (21-13, 60e)

Les joueurs des Hauts-de-Seine luttaient pour le point de bonus et Qovu échouait à quelques centimètres, imité aussitôt par Wisniewski qui laissait échapper le ballon dans l'en-but (75e).

C'était partie remise quand Vatakawa, entré à la place de Chavancy, trouvait la faille dans la défense et marquait le second essai du Racing Métro (24-21, 78e).

C'est encore Boyet qui donnait un avantage plus conséquent après la sirène et délivrait Jean-Dauger.

Berbizier: "Trop pénalisé"


Le manager du Racing, Pierre Berbizier, a regretté l'indiscipline de son équipe lors de la défaite ce vendredi à Bayonne (27-23). Berbizier souligne également l'importance du public de Jean-Dauger.

"Il y avait la place de faire quelque chose ce soir, mais nous avons été trop pénalisés avec ou sans le ballon. Cela nous a amenés à laisser le score à Bayonne et à courir après. Les deux essais que nous marquons ne font pas le résultat. On va travailler notre discipline. Le public bayonnais a joué aujourd'hui le rôle d'arbitre sur les positions de hors-jeu. Je n'avais jamais entendu cette chanson: "Ils sont hors-jeu !", c'est un public toujours aussi présent derrière son équipe."

L'Aviron refait surface


L'Aviron refait surface - RUGBY - Top 14

Avec abnégation, Bayonne retrouve ses esprits en prenant le dessus sur le Racing-Metro (27-23). Les Basques, appliqués en défense, ont su profoter des fautes adversaires pour scorer, Boyet passant notamment huit pénalité. Bonus défensif pour un Racing joueur mais bien trop indiscipliné. Aviron bayonnais contre Racing-Métro: duel chamarré de ciel et de blanc (avec un Racing en rouge !) entre les ambitieux Basques et les très ambitieux Franciliens.
Ces derniers, en l'absence de nombreux cadres, se déplaçaient sans grande pression mais avec la volonté de prendre des points. Leurs adversaires du jour, en revanche, surnageaient avant cette journée au-dessus de la zone rouge et avaient bien besoin d'engranger avant le réveil probable de leurs poursuivants.
Les Basques entamaient bien leur partie et mettaient immédiatement à la faute leurs adversaires pour une première pénalité de Boyet (1e). Le match avait du mal à trouver son rythme et l'ouvreur bayonnais en profitait pour tirer son épingle du jeu grâce deux autres coups de pied (18e, 34e), emportant dans son sillage Garcia qui claquait un drop somptueux à la 28ème. Côté Racing, on tentait sans grande réussite jusqu'à l'essai de Matavesi qui déchirait le rideau à hauteur de Cronje pour filer sous les perches (19e). Wisniewski avait auparavant inscrit une pénalité (3e), les équipes se séparaient ainsi sur un score de 12-10, l'Aviron avait bien négocié sans réellement s'être montré dangereux.
Boyet et les autres
L'ancien Berjallien allait au cours de la seconde période se montrer à la hauteur de l’événement et réaliser un véritable festival. Son insolente réussite lui permettait de passer cinq nouveaux coups de pied (42e, 47e, 59e, 64e, 80e), inscrivant ainsi la quasi totalité des points de son équipe pour un total personnel de 24 points ! En face, les Racingmen se démenaient mais ne parvenaient que trop rarement à déséquilibrer le rideau défensif bayonnais. Leur second essai, inscrit par Vakatawa (78e) arrivait trop tard mais leur permettait d'accrocher un point de bonus défensif somme toute mérité (27-23).
Les Basques, à défaut d'avoir marqué à la main, pourront donc se féliciter du récital de leur buteur ainsi que d'une solide performance défensive, une copie propre rendue face à la puissance du pack francilien. L'Aviron se donne de l'air et reprend ses esprits mentalement. Les Racingmen pourront quant à eux nourrir quelques regrets, l'indiscipline leur ayant coûté cher face à la précision basque. Ils voient par ailleurs Agen et le Stade français revenir au classement malgré un point de bonus que peu d'équipes iront chercher à Jean-Dauger. L'affaire ne sera peut-être pas si mauvaise...

Accueil Actualités AB v RM92 - Au coeur du groupe

TOP 14 -6ème JOURNEE
AVRION BAYONNAIS v RACING METRO 92
Vendredi 30 Septembre - 20h00 - Stade Jean Dauger
Suivez en direct et en photos le voyage de vos joueurs en terre basque et n'hésitez pas à leur laisser vos messages d'encouragement. Ils vous lisent!



ICI

Wisniewski : «C'était ma vie»

En pleine réussite actuellement, Jonathan Wisniewski raconte à L'Equipe sa passion du jeu et du but. Mais aussi sa prise de recul, avec l'âge et les drames personnels.
Wisniewski raconte sa passion et comment il a appris à faire la part des choses
 
Deuxième meilleur réalisateur du Top 14 (77 pts) avant le match à Bayonne vendredi (20h00), le demi d'ouverture du Racing-Métro Jonathan Wisniewski ne cache pas qu'il est un joueur qui vit de sa passion. Une passion qu'il peut raconter par son enfance- «Originaire de Gaillac, j'avais le choix entre le vin et le rugby. J'ai choisi le rugby» - que par ses réveils nocturnes : «La nuit, il m'arrive de me lever pour écrire dans mon cahier à idées un schéma de jeu, un lancement, etc, raconte-t-il vendredi dans L'Equipe. Ma copine me prend pour un fou.» A 26 ans, le numéro 10 et buteur assure néanmoins qu'il a fait «la part des choses» «Le rugby, c'était toute ma vie. Depuis quelque temps, j'ai des occupations à côté

La prise de recul par rapport au jeu s'est aussi tissée par le drame. Pas la peine d'essayer de le vexer en parlant d'un drop décisif manqué en demi-finales du championnat : «Trois mois avant ce drop raté contre Montpellier, j'avais perdu mon petit frère de dix-neuf ans, qui s'est tué dans un accident, raconte-t-il. Alors, on ne va pas me dire que rater une pénalité ou un drop dans un stade de 60.000 personnes où les gens sont heureux, c'est grave. C'est dommage, râlant, mais pas grave.»
 

AB v RM92 - Présentation du match


Le Racing Metro 92 se déplace ce vendredi, pour le compte de la 6e journée du Top 14 Orange, sur la pelouse de l’Aviron Bayonnais. Après leur victoire rassurante face à Lyon, les Racingmen viendront défier des Basques qui n’ont d’autre choix que la victoire après un début de saison poussif.

“Allez les gars on est tous là, encore une fois!”
Encore une fois, La Pena Bayona, chant ô combien symbolique du rugby basque, résonnera comme jamais dans l’antre du stade Jean Dauger. Encore une fois, l’acceuil du public basque sera un atout majeur pour les joueurs de Christian Gajan, transcendés par des supporters présents quatre vingt minute durant, poussant son équipe dans un élan de solidarité contagieux. Cette solidarité, les Basques paraissaient l’avoir perdue.
« Le gros point positif, c’est d’avoir su retrouver notre solidarité. On s’est battu tous ensemble » déclarait le 2e ligne bayonnais, Abdellatif Boutaty, à l’issue de la défaite des Basques à Clermont. Car les Bayonnais semblent remonter la pente après un début de saison semblable à celui du Racing, plus dans l’impression globale laissée après cinq matchs disputés que dans le niveau de jeu proposé. Victorieux du Stade Toulousain (18-13) dès la première journée du championnat, les Basques ont ensuite été défaits à Bordeaux (18-6), avant de concéder le nul à domicile face à Toulon (12-12), puis de sombrer au Stade Français (33-18).
Mais la dernière sortie des futurs coéquipiers de Cédric Heymans laisse entrevoir des jours meilleurs. Et surtout un affrontement sérieux face à des Ciel et Blanc ragaillardis par leur victoire à Colombes contre Lyon.

Présentés par les spécialistes comme un candidat sérieux au titre après trois journées, les hommes de Pierre Berbizier ont clairement pêché face à Clermont. Soudain, les mêmes observateurs ont commencé à douter de la capacité des Franciliens à tenir la distance. Mais la réception de Lyon le week-end dernier témoigne du retour aux valeurs qui ont fait la force des Racingmen au cours des deux dernières saison, avec une victoire, certes poussive, mais significative pour le groupe avant ce déplacement déjà décisif. “Nous allons à Bayonne avec le même envie que contre Lyon mais avec l’idée de gommer toutes les petites errueurs commises face au Lou” affirmait cette semaine Jonathan Wisniewski en conférence de presse. Une phrase à laquelle résonnais celle de Karim Ghezal : “ Aller à Bayonne retourver un jeu simple et reprendre confiance”.

De confiance, il en sera question, et des deux côtés. Les deux équipes joueront la victoire coûte que coûte, c’est certain. En cas de succès, les Franciliens remonteraient dans le haut du tableau et enverraient un message fort, celui d’une équipe encore en construction mais qui parvient à hausser son niveau de jeu, il faut l’espérer, dans la régularité.

jeudi 29 septembre 2011

Cronje capitaine


 

De bouts de match en apparitions sporadiques, Sébastien Chabal a bien du mal à lancer sa saison. Touché à l'épaule gauche, il ne sera pas du déplacement à Bayonne vendredi à 20 heures. C'est donc Jacques Cronje qui sera ligné en numéro 8 et qui portera également le brassard de capitaine. Du coup, Johnny Leo'o sera aligné en flanker. La charnière sera composée de Nicolas Durand et Jonathan Wisniewski. Gaëtan Germain occupera le poste d'arrière.
Le XV du Racing : Germain - Jané, Chavancy, Matavesi, Saubade - (o)Wisniewski, (m)Durand - Nailiko, Cronje, Leo'o - Dellape, Ghezal - Tuugahala, arganese, Brugnaut

AB v RM 92 - La compo

Entrainement du 28 septembre 2011




    

Quelques photos de l'entrainement du 28 septembre on peut y voir notamment Juan Martin Hernandez son retour est prévu dans 3 semaines

AB v RM 92 - Wisniewski: "Gommer nos petites erreurs"


A l'approche du match Aviron Bayonnais / Racing Metro 92, comptant pour la 6ème journée du TOP 14 Orange, Jonathan Wisniewski nous livre ces impressions sur le début de saison de son club et sur l'adversaire de ce vendredi. Un équipe qui pour lui sera "difficile à manoeuvrer".

La vidéo

Bayonne est-il sous pression ?


Bayonne, seulement 11e du classement, est-il en danger avant d'affronter le Racing?

Bayonne est-il sous pression ?
Oui dans la mesure ou l'Aviron n'a plus gagné un match depuis la première journée de championnat contre Toulouse, et qu'il pourrait se trouver relégable à l'issue de cette sixième journée. En effet, il basculerait dans la zone rouge s'il venait à perdre vendredi contre le Racing-Métro 92 et que deux de ses trois poursuivants, en l’occurrence Biarritz, Montpellier et Lyon, l'emportent. Les hommes de Christian Gajan sont d'autant plus sous pression qu'ils accueillent la meilleure attaque de Top 14 (149 points), qui a inscrit 82 points de plus qu'eux.

Sondage : Quel résultat ce weekend ?


N'oubliez pas de participer au jeu concours pronostics bonne chance a tous !!

Racing : Chabal souffre


Non retenu dans le groupe du Racing pour jouer à Bayonne à cause d'une blessure, Sébastien Chabal a reconnu souffrir sur son Twitter.
" J'ai une entorse sterno-claviculaire. Ça fait drôlement mal ce truc... " a-t-il écrit.

Chabal défend Trinh-Duc




Le troisième ligne du Racing-Métro, Sébastien Chabal, a confié sur RMC son étonnement devant le traitement réservé à François Trinh-Duc par Marc Lièvremont : «Ça fait trois ans et demi que Marc lui maintient sa confiance. D'ailleurs, j'ai été dans des situations où Marc l'attaquait directement et n'était pas sympa avec lui. Dans certains débriefings, il n'était pas tendre. Mais il le gardait pour le faire progresser jusqu'à cet événement. Et on arrive au jour J et il le flingue. Je ne sais pas comment François va ressortir de cette compétition», a déclaré l'international français.

mercredi 28 septembre 2011

Ce sera sans Chabal


Sébastien Chabal, à peine remis de douleurs aux cervicales qui ont handicapé son début de saison, est de nouveau forfait pour le déplacement du Racing-Métro à Bayonne, samedi, à l'occasion de la 6e journée, pour un problème à l'épaule gauche cette fois.

AB vs RM92

AB vs RM92 - Le groupe du Racing


Voici le groupe de 25 joueurs retenu par le staff du Racing Metro 92 pour le déplacement à Bayonne (vendredi 30 septembre, 20h, stade Jean Dauger) pour le compte de la 6e journée du Top 14 Orange :

Avants: Arganese, Battut, Ben Arous, Brugnaut,  Coetzee, Côme, Cronje, Dellapé, Ghezal, Leo'o, Qovu, Noirot, Tuugahala, Van der Merwe, Vaquin.

Arrières: Boussès, Chavancy, Descons, Durand, Jané, Germain, Matavesi, Saubade, Vakatawa, Wisniewski.

Joli initiative des supporters basques


Le Racing Club de France, version rugby, a sans doute écrit une de ses plus belles pages dans les années 80. Le 11 janvier 1987 les fameux trois quarts du Racing allaient défrayer la chronique en réalisant la première frasque de leur histoire sur le terrain de Saint Léon. Une histoire potache comme le rugby les aime, même si, à l’époque, certains avaient vu dans cette attitude une sorte de provocation.

Les fantasques « racingmen », ce jour-là, avaient décidé, à l’initiative de Jean-Ba Lafont (petit fils d’un ancien illustre de l’Aviron !) de rendre hommage au Rugby Bayonnais et à la tradition toujours vivante du jeu à la bayonnaise. Pour se faire, les joueurs des lignes arrières avaient tous disputé la rencontre coiffés d’un béret basque. Dans leur esprit, comme ils le soulignent, il n’y avait là aucune forme de provocation mais juste une réelle envie de faire du rugby un monde où l’humour et la convivialité auront toujours une place de choix. Ce 11 janvier 1987 fut le premier des gags de cette bande de copains qui allaient également , la même année, disputer et perdre la finale avec un noeud papillon rose autour du cou ou encore boire une coupe de champagne à la mi-temps de la finale victorieuse de 1990.

25 ans après cette touche humoristique, l’association Les Gars de l’Aviron (LGA), a, à son tour, décidé de rendre hommage et de faire un clin d’oeil à l’esprit de ces joueurs-là qui, avec force et courage, ont réussi à apporter un esprit potache, bien spécifique au rugby français. Le public bayonnais, habitué également à une certaine forme d’humour et de dérision qui en fit, il y a peu, le meilleur public de France souhaite, par cette action, montrer qu’un quart de siècle plus tard, le rugby véhicule
toujours ces valeurs de convivialité.

C’est pourquoi ce vendredi 30 septembre, la totalité de la tribune Afflelou portera ce qui est depuis devenu le symbole de cette bande copains de l’époque : un noeud papillon rose !

Le groupe de Bayonne


Les avants: Roumieu, Manukula, Lafond, Iguiniz, Baiocco, Boyoud, Avril, Lafitte, Boutaty, Linde, Bernad, Puricelli, Haare, Marmouyet, Baget.

Les arrières: Audy, C.Garcia, Boyet, Otazo, Visensang, Ugalde, Mazars, Lacroix, Ziegler, O'Connor, Gerber.

Intérieur Racing - Simone Santa Maria

Intérieur Racing - Simone Santa Maria

"Intérieur Racing" est une nouvelle rubrique sur le site officiel du Racing. Visant à vous faire découvrir de l'intérieur tout le travail effectué auprès du groupe professionnel, elle offre une tribune aux membres du staff sportif. Deuxième épisode épisode avec Simone Santa Maria, qui nous présente le Racing Lab.

Simone, vous êtes arrivés au Racing en même temps que Pierre Berbizier en 2007. Quelle est la mission qu'il vous a confiée?
Simone Santa Maria: L'idée de Pierre depuis le début - ça fait maintenant cinq saisons que nous sommes ensemble - était de créer un système avec lequel on peut confronter le sentiment que l'on a sur le terrain avec une analyse plus objective. Nous avons donc créé le Racing Lab qui nous permet d'étudier le haut niveau à travers les différentes compétitions afin d'évaluer le rugby d'aujourd'hui et son évolution.
Au départ, le projet avec pour objectif la montée en Top 14. C'est ce qu'on a appelé la mise en place. En 2009, nous sommes passés à l'action, en essayant de mettre en pratique tout ce que l'on avait observé sur le Top 14. Aujourd'hui nous en sommes à la troisième phase, l'optimisation.
Au début, on est parti plutôt sur l'évaluation des contextes, on découvrait tout. Pierre, lui-même, reprenait contact avec le rugby français, alors imagine moi! Je ne parlais pas français, et c'était dur. La première année, on a mis en place un projet global, très ambitieux. Très très fort comme expérience.
Après la montée en Top 14, on a commencé à se stabiliser, le socle construit était solide, stable. Alors, on a pu monter d'un cran de plus. Pompon (ndlr: Laurent Pompougnac) qui était déjà là, avait été rejoint par Yoann (ndlr: Laubé), puis Nico (ndlr: Nicolas Leroy) est arrivé, Flo (ndlr: Florent Agounine) ensuite.
Aujourd'hui, avec ce socle solide, on se penche de plus en plus vers l'extérieur, puisque'il faut être ouvert, et recueillir toutes les idées, comme une éponge.
Le but, en fait, est de toujours identifier où on est, où on veut aller et les moyens qu'on se donne pour le mettre en oeuvre. C'est ça, le Racing Lab.

Le Racing Lab a donc une double mission: aider le Racing à analyser ses matchs mais également analyser les tendances du rugby en général?
S.S.M.: Oui, en sachant qu'avec ça on anticipe pour aller vers le haut niveau. Pour moi c'est aussi une façon de participer à un projet club. Ce n'est plus seulement un projet d'équipe. Au départ, on est parti sur un projet centré sur les pros, mais aujourd'hui nous avons developpé un vrai projet de club qui englobe à la fois les pros et le centre de formation.

Est-ce qu'on peut dire que le jeu du Racing est élaboré au Racing Lab?
S.S.M.: Dans la mesure où tout le monde - staffs, joueurs, entraîneurs - participe au Racing Lab, on peut dire que certaines choses sortent d'ici. Mais en fait, on voit surtout la tendance vers laquelle on tend. Entre guillements, on "emmerde" les entraîneurs. L'idée est de confronter plusieurs options, plusieurs tendances, d'alimenter la discussion. Celle-ci a lieu avec les prépas, les entraîneurs et avec Pierre aussi. C'est le travail collectif et collaboratif qui fait la différence du Racing. Le Racing Lab est un moyen du club pour alimenter sa discusison et continuerà aller vers le plus haut niveau.

Tu diriges ce lab. Tu peux présenter tes comparses?
S.S.M.: Chacun a un peu sa spécialité. Yoann, qui est passé depuis deux ans sur les pros, est sur l'analyse globale - de nous mêmes ou l'adversaire. Il s'occupe ainsi de la dimension tactique du jeu.
Pompon, lui, est le gars qu'on dit "de la vidéo", parce que c'est lui qui filme avec les deux caméras superposées, une sur le ballon et une sur l'espace. Lui, pour moi, c'est un peu l'aspect "vintage" dans notre équipe parce qu'il était déjà quand je suis arrivé. Et puis c'est un maniaque, super professionnel, à vérifier 4 fois les caméras avant d'aller filmer.Il est vraiment dans l'exigence, ce qui est indispensable pour le haut niveau. Ensuite, il s'occupe des statistiques avec la caméra plan serré, c'est à dire plus centrées sur l'efficacité du joueur.
Après, il y a Flo, qui gère le repérage de données, l'analyse de ces données et du centre de formation.
Avant, on travaillait aussi avec Nico qui etait un peu le fou du truc. Il avait toujours plein d'idées et il fallait souvent le ramener à l'essentiel mais il nous a permis d'évoluer. En fait, chacun de nous a amené ses idées, un petit logiciel. C'est pour ça qu'on a créé notre propre logiciel. On ne veut pas s'enfermer dans un outil qui ne nous permettrait pas d'évoluer aussi vite que le rugby d'aujourd'hui.

Justement, pouvez-vous nous parler de vos outils de travail?
S.S.M.: D'habitude, les outils d'analyse vidéo sont très fermés. Il n'y pas de possibilités d'en sortir. C'est pour ça que nous travaillons avec différents outils, et on essaye de synchroniser tous ces outils pour déterminer le jeu qu'on voudrait.
On travaille sur différents domaines. La statistique pure et simple, on la voit plutôt sur le long terme, plutôt que sur l'immédiat. En revanche, dans l'instantané, il y a un croisement de données sur les aspects technique, tactique et physique. Tout cela pour alimenter la discussion dont je parlais plus tôt.
Nous, on est pas le savoir, on se donne juste les moyens de recueillir le max d'infos, de les traiter et de lancer une discussion. C'est avec ça qu'on évolue, qu'on ne s'enferme pas dans un domaine. D'où notre idée de créer un logiciel très ouvert pour alimenter cette discussion et pas s'enfermer dans quoique ce soit.

Quelle est la part dans le rugby d'analyse et la part d'improvisation?

S.S.M.: Ce sont toujours les deux en même temps. Si on dit à un joueur de ne faire qu'une chose, en l'enfermant dans des idées et que finalement ce qui était prévu ne se passe pas sur le terrain, il va être perdu. Il faut plutôt déterminer une stratégie de jeu en fonction de l'adversaire et des joueurs choisis, définir un cadre et les laisser ensuite s'exprimer dedans. Après c'est l'adaptation du joueur et ses initiatives qui font la différence.
D'ailleurs, le joueur fait partie intégrante de toutes nos réflexions. De notre côté, nous filtrons le maximum de données pour l'aider le joueur à aller à l'essentiel et eux collaborent pour faire évoluer ce système. Faire participer le joueur au projet, c'est proactif. Si on est proactif, on ne réagit pas aux sitations mais on a l'initiative et c'est là que le joueur, dans le cadre qu'on détermine, fait ce qu'il veut sur le terrain. Et comme c'est souvent l'équipe qui a l'initiative qui gagne les matchs...

Aviron Bayonnais : les mêmes sur le pont




L'Aviron, qui a ramené un point de bonus de Clermont, ne déplore aucun blessé de plus avant la réception du Racing

Plein soleil hier après-midi sur la Côte basco-landaise. Landaise ? Oui, car c'est à Capbreton, sur les superbes installations du club local que l'Aviron Bayonnais avait décentralisé son entraînement de début de semaine.
Dans les Landes, les entraîneurs ont pu travailler avec leur effectif au complet, du moins celui sur le pont pour le déplacement à Clermont puisqu'aucun joueur n'a été blessé en Auvergne (1). « C'est vrai que c'est intéressant de travailler avec le même groupe, cela permet une certaine continuité, constate Christian Gajan, directeur du rugby de l'Aviron. Et puis, c'est bien aussi de ne pas déplorer de blessé sur un match. C'est assez rare pour être signalé. »

Vidéo : Dieux du Stade : le Racing refuse la publication

mardi 27 septembre 2011

RM92: Hernandez s'entraîne

 



L'ouvreur international argentin du Racing-Metro, Juan Martin Hernandez, victime d'une rupture des ligaments croisés d'un genou en mars dernier, a retrouvé l'entraînement collectif avec ses partenaires de club. Son retour à la compétition est envisagée dans les deux à trois prochaines semaines.

Petit jeu bonus





Comme vous le savez le concours de pronostic pour les matchs du racing est lancé.
Aujourd'hui le blog vous propose de gagner deux points de bonus. Un nouveau supporter du racing c'est glissé sur le blog a vous de le repérer ! Il peut être partout message archive page photo !
Pour ceux et celles qui le localiseront laissé un commentaire a l'endroit ou il ce trouve avec son prénom et vous bénificierez de 2 points de bonus si vous étes inscris bien sur au concours !
Bonne chance a tous ;)

Calendrier des Dieux du Stade: Thomas Savare oppose une fin de non recevoir au Racing Metro


RUGBY - C’est au tour de Thomas Savare de répondre aux propos de Jacky Lorenzetti sur le fameux calendrier...

La réponse ne se sera pas fait attendre longtemps. Au lendemain du communiqué du président du Racing exigeant le retrait d’un de ses joueurs du calendrier des Dieux du stade, Thomas Savare, président du Stade Français, donne à son tour son avis. «Je regrette que Monsieur Lorenzetti polémique au sujet de notre calendrier des Dieux du Stade. Le Stade Français Paris confirme avoir reçu un courrier de l’avocat du Racing Métro 92 en août dernier exigeant la non-publication des photos de M. Chavancy dans le calendrier des Dieux du Stade. (…)Le contrat liant M. Chavancy à la société Stade SA est par ailleurs extrêmement clair sur les droits de cette dernière à publier les images du joueur. En conséquence, il a été envoyé une une fin de non-recevoir au Racing Métro 92. »
Une fin de non recevoir
A priori le centre du Racing, Henry Chavancy devrait rester dénudé sur des photos papier glacé de l’édition 2012 du calendrier. Max Guazzini, qui se délectait de la publicité faite autour de «son» calendrier, doit se réjouir de ses échanges d’amabilité par presse interposée.

Chavancy: Réponse de Paris



Le président du Racing Metro, Jacky Lorenzetti, s'est indigné de la présence de l'un de ses joueurs, Henry Chavancy, dans le calendrier de rugbymen nus qui doit être mis en vente dès jeudi par l'autre club francilien, le Stade Français, et son ex-président Max Guazzini.
Le club parisien a répondu à travers un communiqué. Le voici :
"Le Stade Français Paris confirme avoir reçu un courrier de l’avocat du Racing Métro 92 en août dernier exigeant la non-publication des photos de M. Chavancy dans le Calendrier des Dieux du Stade, à paraître le 29 septembre prochain, en raison d’une supposée atteinte à l’image du club.
Le contrat liant M. Chavancy à la société Stade SA est par ailleurs extrêmement clair sur les droits de cette dernière à publier les images du joueur.
En conséquence il a été envoyé une fin de non-recevoir au Racing Métro 92.
Ce n’est que la semaine dernière que Stade SA a reçu un courrier de M.Chavancy, probablement sous la pression du Racing Métro 92 et de son Président, demandant le retrait des dites images.
Le Calendrier devant être commercialisé le 29 septembre, il a été décidé de maintenir l’édition 2012 du Calendrier des Dieux du Stade avec toutes les images retenues, y compris celles des joueurs évoluant dans d’autres clubs que le Stade Français Paris.
"Je regrette que Monsieur Lorenzetti polémique au sujet de notre Calendrier des Dieux du Stade. Démarré en 2001 pour fêter le 10ème titre du Championnat de France du Stade Français Paris, cet ouvrage est devenu depuis un rendez-vous incontournable des joueurs du Club et leurs invités. Je comprends que le succès fulgurant du Calendrier des Dieux du Stade, qui s'est inscrit dans la durée avec plus de 1,5 million d'exemplaires vendus en France et à travers le monde en 10 ans puisse susciter des jalousies. Or même ceux qui ne partagent pas forcément l'approche un brin décalée du Stade Français Paris reconnaîtront que le Calendrier des Dieux du Stade a contribué à populariser le rugby au-delà de ses frontières traditionnelles !" a déclaré Thomas Savare, Président du Stade Francais Paris."

Un point sur les internationaux


L'Italie vient de s'imposer contre les états-unis sur le score de 27-10.
Le racingmen Mirco Bergamasco, titulaire a l'aile a marqué 7 points pour son pays.
Andrea Lo Cicero remplacent en début de match est rentré a la 51 éme.
A noter que Mirco Bergarmasco est sorti sur blessure a la 72 éme minutes

Hier Marc Liévremont a annoncé la composition du XV de France pour le match contre les Tonga.
Le deuxième ligne et capitaine du racing métro Lionel Nallet est titulaire tandis que Fabrice Estebanez est lui remplacent.

L'afrique du sud affronte le Samoa vendredi a 7h30 le francilien François Steyn sera titulaire au poste de premier centre.

Le concours de pronostic

                                                                                                   



Le blog met en place pour ses supporters un concours de pronostics !
Pour chaque journée a vous d'essayer de trouver le score exact du match de votre équipe favorite ainsi que le nombre d'essai qui sera marqué lors de cette rencontre.
Alors inscrivez vous ci dessus et bonne chance a tous !

lundi 26 septembre 2011

Guazzini remercie le Racing



L'ancien président du Stade Français Max Guazzini a remercié, via son compte Twitter, Jacky Lorenzetti, le président du Racing Metro, «de faire la promo du calendrier Dieux du Stade 2012 qui sort jeudi.» Henry Chavancy, joueur du Racing Metro, apparaît en effet dans ce calendrier, ce qui a déplaît à Jacky Lorenzetti, qui a demandé à ce que la photo de son joueur soit retirée dudit calendrier. «Que le Stade Français fasse commerce d'un calendrier où de ses joueurs posent à poil, nous n'avons rien à dire. Cette histoire n'est pas la nôtre, ces « dieux du stade » ne sont pas de notre panthéon. Qu'un joueur du Racing se retrouve, parmi d'autres joueurs d'autres clubs, dans ce calendrier 2012, nous disons alors clairement NON. Pas d'accord !», a-t-il indiqué dans un communiqué.

Sondage : Qui a était le meilleur Racingmen contre le LOU

(Re)Cadrage - Débordement


Le Racing a souvent salué les réalisations du Stade Français et leurs bienfaits pour l’essor du rugby dans notre région. Ses succès sportifs, l’engouement populaire qu’ils ont suscité, ses matchs joués dans un Stade de France comble sont autant de réussites qui inspirent notre respect. Avec le Stade Français, le Racing cultive aussi le goût de la liberté et de l’impertinence. Sur le terrain des valeurs enfin, le combat de Max Guazzini contre l’homophobie et toute forme de discriminations est aussi le nôtre.


Que le Stade Français fasse commerce d’un calendrier où ses joueurs posent à poil, nous n’avons rien à dire. Cette histoire n’est pas la nôtre, ces « Dieux du stade » ne sont pas de notre panthéon. Qu’un joueur du Racing se retrouve, parmi d’autres joueurs d’autres clubs, dans ce calendrier 2012, nous disons alors clairement NON. Pas d’accord !


Henry Chavancy est un très bon joueur de rugby, il est aussi un enfant du Racing. Formé au club depuis ses onze ans, il est une figure tutélaire du renouveau de notre club. Trois-quart centre talentueux, Henry aura été de toutes nos belles victoires de ces quatre dernières saisons. Sa pose dans le calendrier 2012 du Stade Français est une erreur, de jeunesse peut-être… Après en avoir discuté avec le Président Jacky Lorenzetti, Henry Chavancy a demandé à ne pas figurer dans ce calendrier. Plusieurs démarches ont été faites dans ce sens. Un avocat appuie cette demande en justice.


Max Guazzini signe la réalisation de ce calendrier 2012 qui se présente ainsi : « les sportifs nus incarnent les seuls survivants d’un monde qui a disparu. Ils essayent d’embarquer sur un bateau à destination d’horizons nouveaux. » Après avoir témoigné notre solidarité à Max Guazzini quand soufflaient les vents contraires, nous lui souhaitons désormais bon voyage, mais nous refusons que notre joueur se soit fait embarquer sur ce radeau en perdition.


Fluctuat nec mergitur ! : il est battu par les flots mais ne sombre pas. C’est la devise de Paris, que nous saluons encore…

dimanche 25 septembre 2011

Vulivuli: "Trop d'erreurs"



Le centre des Fidji et du Racing Metro Albert Vulivuli a déploré les nombreuses erreurs de son équipe lors de la défaite face au Samoa ce dimanche (27-7). Mais il croit toujours à une hypothétique qualification.
"Je pense qu'on a fait trop d'erreurs, manqué trop de plaquages. On a perdu ce match en première mi-temps. On n'a pas assez bien commencé. On était un peu désorganisé, il va falloir regarder la vidéo et faire beaucoup mieux la semaine prochaine. Mathématiquement, on peut se qualifier, mais il faudra faire un très bon match."

Retraite internationale pour Chabal ?

Non retenu pour la Coupe du Monde, Sébastien Chabal devrait bientôt prendre sa retraite internationale. «J'en parlerai une fois que la Coupe du monde sera terminée. Si on réfléchit, partir pour avoir une ou cinq sélections en plus… Si ce n'est pas pour aller vers une échéance style Coupe du monde, ça ne sert pas à grand-chose», a confié le joueur du Racing-Métro à RMC. Agé de 33 ans, Chabal compte 62 sélections avec le XV de France.

Chabal: "Irréguliers malgré l'envie"

Sébastien Chabal était notre invité exceptionnel pour un chat à l'occasion de France-Nouvelle Zélande. Voici en intégralité les réponses à vos questions pendant le match.


Chabal: "Irregulier malgré l'envie" 
 
L'équipe de France réalise une belle entame de match.

Question de Florian B : Que pensez-vous du pack des Bleus par rapport à celui des Blacks ? Lequel remportera le défi physique?

Sébastien Chabal : Je pense que le pack français est plus solide.

Question de Brice : Le Haka est-il aussi impressionnant en vrai qu'à la télé ? Quelle est l'attitude à adopter ?

Sébastien Chabal : C'est plus impressionnant en vrai mais il ne faut surtout pas baisser les yeux. Les Néo-Zélandais vont jouer comme des fous pendant 30 minutes...

Question de vicomey : Les All Blacks sont-ils capables de ne pas jouer le match à fond ?

Sébastien Chabal: Impossible, les deux équipes vont jouer pour gagner.

Question de Romain : Un bon début français peut-il faire douter les Blacks ?

Sébastien Chabal : Je pense que oui. On a vu à deux reprises que, dans leur camp, ils se sont débarrassés du ballon au pied alors qu'ils voulaient le conserver et proposer du jeu.

Question de Diana : On peut tenir ce rythme tout le match?

Sébastien Chabal : C'est une grosse interrogation car pendant les deux premiers matches on a eu des passages a vide mais ces sont les Blacks ! On va rester mobilisés pendant 80 minutes.

Question de Fred : Je suis sûr que tu bous sur ta chaise et que tu irais bien les aider à conclure ?

Sébastien Chabal : Oui !

Question de dr3d : C'est plus fatiguant d'attaquer ou de défendre ?

Sébastien Chabal : Beaucoup plus de défendre !

Premier essai des Blacks par Thomson (10e), 5-0

Sébastien Chabal : C'est le pire qui pouvait nous arriver. Dominer, ne pas marquer et prendre un essai !

Question de 3car : La France va-t-elle s'écrouler après l'essai ?

Sébastien Chabal : Je ne l'espère pas ! Mais on voit qu'il ne faut pas rendre les ballons ou les tomber car en contre-attaque ils sont extraordinaires.

Question de jojo : Les Blacks doutent-ils quand ils jouent face aux Français ?

Sébastien Chabal: Ils n'abordent jamais ces matches là très sereins. Surtout en Coupe du monde.

Question de Axel : Maintenant que faut-il faire ? Attaquer comme des sourds ou être plus prudent ?

Sébastien Chabal : Il faut continuer à produire du jeu mais privilégier la conservation du ballon.

Question de ben : Morgan s'en sort plutôt pas mal pour le moment, qu'en penses-tu ?

Sébastien Chabal : Pour l'instant il s'en sort bien, c'est propre, il donne de la vitesse.

Deuxième essai néo-zélandais (Jane,17e), 12-0

Question de khyri : Les Blacks vont être libérés maintenant, ça risque d'être beaucoup plus dur non?

Sébastien Chabal : C'est sur que marquer deux essais en deux incursions ça donne confiance et quand elle commence à vous dominer, cette équipe vous appuie sur la tête.

Question de mikael : Le drop raté de Parra au début est-il le tournant du match ? Et si les Français avaient ouvert le score ?

Sébastien Chabal : Je pense que si on avait marqué pendant les dix premières minutes, ça nous aurait confortés dans notre domination.

Troisième essai Black (Dagg, 21e), 19-0

Question de kevinator : Le match est-il déjà plié ? Car ça commence à faire lourd 19-0 après 22 minutes.

Sébastien Chabal : J'ose espérer que les Français vont réagir après ces trois coups de massue.

Question de Thibault : Suffit-il d'un essai pour remettre nos Français en confiance ?

Sébastien Chabal : Essai ou non, il faudrait marquer des points rapidement pour reprendre confiance.

Question de Olivier: Est-ce que ce n'est pas simplement un manque d'impact et donc de puissance qui nous fait défaut ?

Sébastien Chabal : Pas du tout parce que physiquement, on est au moins au même niveau. On n'arrive plus à jouer la ligne d'avantage. Et si on laisse les Blacks jouer en avançant...

Question de Clément : Quels sont les points positifs de ce que nous montre l'équipe de France pour l'instant ?

Sébastien Chabal : Notre pack qui a subi les deux premières mêlées recommence à faire le métier. Et toujours notre envie de produire du jeu.

Question de Thomtom :Quel est le joueur le plus dangereux côté All Blacks ?

Sébastien Chabal : Celui qu'on a vu avec le plus d'envie et de férocité, c'est Nonu.

Question de bearwolf : Les Blacks ne parasitent-ils pas le jeu français avec un manque de fair-play : obstruction, etc... Je pense notamment à Dan Carter

Sébastien Chabal : Pour l'instant, je trouve que le jeu est propre des deux côtés et que l'arbitre fait le métier.

Question de Hugues : Quels sont les conseils que tu donnerais à l'équipe de France durant la mi-temps?

Sébastien Chabal : De gagner les duels ! Il faut se remettre à avancer car on subit trop.

Question de Steven : Quels joueurs aimerais-tu voir rentrer en 2eme période ?

Sébastien Chabal : Ce n'est pas une question de joueurs. Il faut se remettre à avancer en défense et en attaque.

Premiers points Français sur pénalité 19-3 (Yachvili, 39e)

Sébastien Chabal : Ils font du bien ces 3 points

Mi-temps Nouvelle-Zélande 19-3 France

Sébastien Chabal : Dans l'agressivité, on y est. Mais l'amélioration du jeu du XV de France passe surtout par la conservation du ballon et la multiplication des temps de jeu.

Début de la seconde période. Quatrième essai néo-zélandais (Dagg, 41e) 26-3

Commentaire de la part de Valentin : Sébastien, penses-tu qu'une victoire de la France est-encore possible?

Sébastien Chabal : Faut fouiller un peu dans les mémoires et se rappeler de 1999. Mais d'abord mettre la main sur le ballon...

Pénalité de Dan Carter 29-3 (47e)

Question de simon : Si la tendance ne s'inverse pas, quel impact peut avoir ce match sur la suite de la compétition pour les Français?

Sébastien Chabal : Il y a deux écoles: soit ça nous met un gros coup au moral, soit c'est un gros avertissement sans frais qui nous permet de nous remobiliser.

Question de alexis : Toi qui a vécu ce genre de match comment on se sent moralement à ce moment-là ?

Sébastien Chabal : Pas bien mais là on subit vraiment et il faut que les leaders de jeu parlent pour remobiliser l'équipe. Sinon, ça n'ira qu'en se dégradant...

Question de Ludo : Les Blacks se sont-ils fait volontairement dominer dans les premières minutes du match pour jouer le contre d'après toi ?

Sébastien Chabal : Non, je pense qu'ils voulaient imposer leur rythme dès le début mais l'équipe de France a fait une bonne entame.

Question de Maud :D'après la presse, perdre ne serait pas une "si mauvaise chose" pour la suite. Qu'en pensez-vous?

Sébastien Chabal : Je sais que les joueurs ont abordé ce match pour le gagner. Il faut arrêter de calculer et prendre les matches les uns après les autres. Etre performant et construire.

Essai de Mermoz (54e), 29-8

Question de paulpaul : La France peut-elle revenir dans le match ?

Sébastien Chabal: Ca peut donner un petit coup de sang cet essai...

Question de willay : Si les Bleus marquent un deuxième essai les Blacks peuvent-ils commencer à douter ?

Sébastien Chabal : Oui mais je crois surtout que cet essai nous a redonné un peu de confiance.

Question de kevin : Je me demande combien y a-t-il de supporters Français!!

Sébastien Chabal : Environ 17 000 !

Question de Yrow :Je ne comprends pas pourquoi les centres veulent absolument foncer, pourquoi n'ouvrent-ils pas le jeu ?

Sébastien Chabal : Avant de jouer à l'extérieur, il faut fixer au milieu de terrain. "La balle à l'aile, la vie est belle", ça ne marche plus comme ça...

Question de RCT :Dans quel secteur faudrait-il amener de la fraîcheur à 20 mn de la fin?

Sébastien Chabal : Pour l'instant, physiquement on est là. Il faut arrêter de perdre ces ballons au contact.

Drop de Dan Carter (64e), 32-10

Question de Michel : Est ce que l'absence d'un vrai numéro 10 nous a pénalisé aujourd'hui ?

Sébastien Chabal : Je trouve que Morgan s'en sort pas mal. Après, cela aurait été beaucoup mieux avec un 10 d'expérience mais on ne peut pas reprocher à Morgan ce qui arrive aux Français.

Question de Loic : Quelle est ta préférence entre l'Angleterre et L'Argentine en quart de finale ?

Sébastien Chabal : Ma préférence serait qu'on arrive à avoir de la constance dans notre jeu. L'adversaire, ce n'est pas important.

Question de David : Faut-il faire souffler les cadres pour le match contre les Tonga pour qu'ils soient frais pour les quarts?

Sébastien Chabal : Qui sont les cadres ? Et je crois au contraire que ceux qui vont jouer les quarts ont besoin de rythme.

Question de Rouge et Noir : J'ai l'impression qu'il manque un petit peu de magie, un petit peu de folie. Est-ce que c'est la différence entre les Français et les Néo-Zélandais?

Sébastien Chabal : Avant de penser à la magie et la folie, il faut être performant sur les bases. La conquête, la conservation et la défense.

Question de Mathieu : Combien de points faut-il marquer pour avoir le bonus défensif ?

Sébastien Chabal: Sept de moins au maximum par rapport à l'autre équipe.

Question de Simon 501: Qui est l'homme du match pour vous ?

Sébastien Chabal: Cory Jane !

Question de Flopok : Sébastien, es-tu déçu ou confiant en voyant le jeu de cette équipe de France ?

Sébastien Chabal : Je suis triste de voir que les joueurs n'arrivent pas à mettre leur jeu en place. Parce que l'envie est là...

Essai de Trinh-Duc (75e), 32-15

Question de Charles : Il reste 5min dans le match, penses-tu que l'on peut avoir le point défensif ?

Sébastien Chabal: Ca va être compliqué quand même. Il faut marquer encore deux fois.

Essai de Sonny Bill Williams (77e), 37-17

Question de Joey : Sonny Bill Williams, c'est un peu le Cristiano Ronaldo du rugby, non?

Sébastien Chabal : T'as bien raison, je pense la même chose...

Fin du match Nouvelle-Zélande 37- 17 France

Question de max : Que penses-tu de la prestation globale des Bleus ?

Sébastien Chabal : On a vu de l'envie mais on a été trop irrégulier.

Question de thomas : A ton avis Sébastien, jusqu'où ira la France dans cette Coupe du monde?

Sébastien Chabal : A coup sûr en quart et après... on espère...

samedi 24 septembre 2011

RM 92 v LOU - Réaction d'après-match

Venu en conférence de presse à l'issue de la rencontre gagnée par ses hommes face au LOU (25-12), Pierre Berbizier était satisfait du résultat. Moins par le jeu pratiqué par les Ciel et Blanc.                             Retrouvez la ici => Réaction

Le Racing repart de l'avant

Après deux défaites de suite, les Racingmen ont repris leur marche en avant en s'imposant contre Lyon vendredi. Castres a remporté une victoire étriquée face à Brive tandis que Montpellier, défait par Bordeaux-Bègles, s'enfonce.


Racing-Métro – Lyon : 25-12
Les Franciliens ont repris leur marche en avant vendredi. Défaits par Toulouse et Clermont lors des deux dernières journées, ils ont remporté leur troisième victoire de la saison contre Lyon. Sur leur pelouse de Colombes, où ils ont disputé quatre de leurs cinq premières rencontres de championnat, les hommes de Pierre Berbizier sont partis tambour battant dans cette partie. Jacques Cronjé n’a attendu que deux minutes pour filer en terre promise sur un service parfait signé Jonathan Wisniewski (7-0). Après deux nouvelles pénalités réussies par leur ouvreur, les Ciel et Blanc menaient 13-0 alors que le chronomètre affichait à peine dix minutes. Mais paradoxalement, cette entame idéale n’a pas vraiment libéré les Racingmen. Maladroits et empruntés, ils ont laissé les Lyonnais installer leur jeu et les hommes de Raphaël Saint-André ne s’en sont pas privés. Dominateurs dans cette première période, ils ont été récompensés sur un essai signé Régis Lespinas (13-7, 22eme).

Mené de neuf unités à la pause (16-7), le LOU aurait certainement mérité mieux au moment de retourner aux vestiaires. Mais il n’a pas su poursuivre sur le même rythme en seconde période et le Racing-Métro a parfaitement géré son pécule d’avance, malgré un essai en toute fin de rencontre de Guram Kavtidze. Sans forcer leur talent et sans briller, les locaux ont assuré l’essentiel avec une victoire tranquille, au cours de laquelle Wisniewski s’est illustré. De retour après avoir été ménagé contre Clermont la semaine dernière, il a marqué dix-sept points pour son équipe. Les partenaires de Sébastien Chabal, sorti en boitillant à une dizaine de minutes du coup de sifflet final, relacent la machine avec ce succès. Les Lyonnais, qui disputaient leur quatrième rencontre loin de leurs bases en cinq matchs de Top 14, repartent eux bredouille de leur déplacement en région parisienne. Ils retrouveront leur public la semaine prochaine contre Castres.

Le Racing sans brio



Le Racing sans brio - RUGBY - Top 14


Le Racing-Metro a éprouvé pas mal de difficultés face à un promu lyonnais qui a fait front en défense mais qui a commis trop de fautes d'indiscipline (25-12). Wisniewski a bien aidé au pied son équipe qui a perdu de la confiance après deux défaites de rang. Lyon a résisté et marqué deux essais. 
 
Le Racing-Metro sort de la spirale de la défaite. Après deux échecs consécutifs, face à Toulouse et contre Clermont à domicile lors de la précédente journée, les hommes de Pierre Berbizier avaient en effet à coeur de retrouver une certaine confiance lors de la réception ce vendredi du Lyon Olympique Universitaire.Pour sa part, le Lou effectuait ce déplacement sans complexe et comme soulagé d'un poids après une première victoire en Top 14.
Et ce sont les Racingmen qui prenaient le match par le bon bout et monopolisaient d'entrée le ballon. L'équipe francilienne effectuait en effet un entame idéale avec un essai inscrit dès le début de la partie par le biais du troisième ligne Cronje. Le capitaine prenait en effet la défense lyonnaise à revers pour aller marquer entre les barres (2e, 7-0). Face à des Lyonnais cueillis à froid et maladroits, Wisniewski, dans un bon jour, enquillait les pénalités (5e, 11e, 13-0). Après un premier quart d'heure de jeu difficile, les hommes de Raphaël Saint-André tentaient de réagir et mettaient la main sur le cuir. Une volonté de jouer récompensée par un essai inscrit par Lespinas (22e, 13-7) déjà en vue lors de la précédente journée face à Brive. Malgré cet éclat lyonnais, le Racing-Metro rejoignait les vestiaires confiant après une ultime pénalité inscrite par l'arrière parisien Germain près de la ligne médiane (30e, 16-7).

Des Franciliens poussifs
Au retour des vestiaires, les Lyonnais lancaient de nombreux temps de jeu pour essayer de recoller au score. Mais trop indisciplinés, ils donnaient l'occasion à Wisniewski de grossir ses statistiques. En effet, le buteur passait trois pénalités coup sur coup (46e, 51e, 65e, 25-7) donnant de plus en plus d'air à son équipe. Loin de se laisser abattre, les Lyonnais, venus sans pression, continuaient à jouer tous les coups. Cette volonté offensive s'avérait payante en toute fin de partie face à des Franciliens réduits à quatorze après l'exclusion temporaire de Durand. Dans le temps additionnel, le Lou marquait en effet, pour l'honneur, un second essai par le biais de Kavtidze (81e, 25-12). Mais le score était fait et la victoire revenait aux locaux sauvés par leur entame de match.
Malgré cette défaite, le promu lyonnais n'a pas a rougir de sa prestation et a su faire trembler le Racing-Metro sur ces terres. Les Rhodaniens pointent désormais à la 12e place du classement avec la réception du Castres Olympique. Pour sa part, outre un succès difficile, le Racing-Metro a su réagir après sa défaite contre Clermont. Mais les hommes de Pierre Berbizier doivent encore engranger de la confiance et ce avant le difficile déplacement à Bayonne lors de la 6e journée de Top 14.

vendredi 23 septembre 2011

Mi temps

 

C'est la mi-temps au stade Yves-du-Manoir. Le Racing mène 16-7 face à Lyon avec un essai partout.

LE MATCH






Vous êtes pas au stade ? Vous n'avez pas rugby + ? Pas de panique le blog vous propose le match.

Racing Métro 92 Vs LOU  a suivre ici  : LE MATCH

Bon match a tous !!

La composition du LOU



Voiçi la composition du LOU pour ce soir

Tchougong, Colliat, Roux - Vigouroux, Marchois - Gambetta, Sousa, Manta - Véniat, Sadourny (Cap.) - Grosso, Raffault, Sukanaveita, Ratuvou - Lespinas.

Remplaçants : Testa, Kavtidze, Short, Dorier, Januarie, Wakanivuga, Tranier, Toleafoa.

Présentation : Josh Matavesi

Arrivé en tant que joker médical de Juan martin Hernandez, Josh Matavesi n'a pas eu beaucoup de temps de jeu. Titularisé ce weekend au centre le blog vous présente ce joueur.

Matavesi n’est pas un Fidjien comme les autres. Né en Angleterre d’une mère anglaise et d’un père fidjien, venu dans les îles britanniques à l’occasion d’une tournée en 1987. Cet ancien international a mis logiquement son fils à la balle ovale. Josh Matavesi a donc appris le rugby à la mode anglaise. Sélectionné en -20 ans par l’équipe d’Angleterre (Tournoi des 6 Nations 2009), Josh Matavesi a préféré répondre aux sirènes des Iles Fidji. Capable de jouer à tous les postes des lignes arrières, il a notamment joué n°15 lors de la dernière tournée des Fidji en Europe. Le blog a retrouvé la vidéo de sa performance face au Pays de Galles. Lui et ses coéquipiers avaient arraché le match nul (16-16) au Millenium Stadium de Cardiff. Matavesi avait rendu une copie propre mais sans briller.


Le point sur le Racing Métro 92




L’ENJEU

Il y a deux journées le Racing était leader du championnat avec en plus la meilleure attaque. Cette dernière donnée est toujours valable mais les Franciliens ont depuis reculé à la septième place et possèdent la plus mauvaise défense avec Bordeaux-Bègles (108 points). La faute à deux chocs perdus au Stadium contre Toulouse (41-36) et à domicile contre Clermont (18-11). Ce match face à Lyon est donc l’occasion de retrouver le chemin de la victoire et la confiance du début de saison. 


L’EQUIPE

Pierre Berbizier a opéré sept changements dans son XV de départ après la déconvenue contre Clermont. Dans le huit de devant, Tu’Ugahala fera son entrée en première ligne, Dellape en deuxième ligne et Chabal commencera numéro 8, ce qui décalera le capitaine Cronje en position de flanker. La charnière fait aussi peau neuve avec le retour de Wisniewski à l’ouverture et l’entrée du Durand à la mêlée. Enfin Saubade sera aligné à l’aile et Matavesi en trois-quart centre. 


LA STAT 

0.- L’an dernier, le Racing-Métro n’a jamais enchainé trois matchs sans victoire.

Chat avec Sébastien Chabal


A l'occasion de France-Nouvelle-Zélande samedi (10h15), Sébastien Chabal échangera avec vous au cours d'un chat exceptionnel. Vous pourrez poser vos questions et commenter le match en simultané avec lui.
Rendez vous sur le site de TF1 pour poser vos questions a notre 8 préféré !
Sébastien sera aussi présent sur le 13H de TF1 aujourd'hui.

Vidéo : L'avant match du LOU


Avant le déplacement a Colombes Gérald Gambetta (3éme ligne du LOU), Mathieu Lazerges (entraineur du LOU) et Raphaël Saint-André (directeur sportif du LOU) nous livre leurs impressions 

jeudi 22 septembre 2011

RM 92 v LOU - La compo du Racing




Voici la composition du XV de départ appelé à affronter le LOU à l'occasion de la 5ème journée de Top 14 ce vendredi à 20h au stade Yves du Manoir.
A noter la titularisation de Sébastien Chabal et de Jonathan Wisniewski.
Votre avis sur la compo ?

Le Billet de Pierre Berbizier

 

Il existe quelques similitudes entre le LOU, promu en Top 14 cette saison, et le Racing de 2009, qui retrouvait l’élite. Notre ambition était alors de rivaliser avec les meilleurs et on imagine que les Lyonnais partagent ce même objectif.

Alors que les dirigeants du LOU entendent inscrire leur club sur la durée dans l’élite, il leur faut gagner une légitimité sur le terrain. En ce sens, leur victoire sur la pelouse de Brive le weekend dernier (12-15) est un signal fort.

Mais le parallèle s’étend au-delà du terrain. L’ouverture prochaine d’une enceinte flambant neuve, le Matmut Stadium, ouvre de nouvelles perspectives de développement au club rhôdanien, tout comme la construction de l’Arena est une étape décisive pour le futur de notre Racing.

Je me souviens qu’à notre arrivée en Top 14, nous nous attendions à souffrir. Nous nous étions alors attelés à rendre les matchs difficiles pour nos adversaires. Il en est de même pour les Lyonnais et notre affrontement ce vendredi sera, à n’en point douter, une rude bataille.

Après notre non-match du weekend dernier face à Clermont (11-22), nous devons une revanche à notre public, à nos supporters, à nos partenaires et à nous-mêmes. Ce match doit nous recentrer sur les fondamentaux de notre sport: l'humilité, le respect et la solidarité."

Sondage : Quel résultat ce weekend ?

Résultat du sondage


Vous êtes 60% a pensez que notre ouvreur Jonathan Wisniewski aurait du être choisi pour remplacé Skrela.
 N’hésitez pas a venir vous exprimez régulièrement le blog proposera des sondages ;)